TAFTA (TTIP/GMT) : 240 INTERPELLATIONS À BRUXELLES
durant l’European Business Summit
240 interpellations ont eu lieu lors de la manifestation contre l’European Business Summit, ce 15 mai 2014, dont l’objectif était d’arrêter les négociations du traité transatlantique (TAFTA ou TTIP ou GMT). Felipe van Keirsbilck (CNE) a dénoncé "des négociations secrètes inconnues des citoyens" et demandé à ce qu’elles soient "dévoilées au grand public car les résultats de ces négociations seront très préjudiciables". "Ce traité est censé générer des millions d’emplois, mais il est mensonger. On a déjà eu l’exemple du traité ALENA (l’accord de libre-échange nord-américain) signé il y a 20 ans. Il était également censé créer des millions d’emplois, or, à l’inverse, ce sont des millions de jobs qui ont été perdus tant aux Etats-Unis qu’au Mexique. Le traité est censé améliorer le commerce entre les USA et l’Europe, en détruisant tout ce qu’ils considère comme une entrave au commerce."
http://www.levif.be/info/belga-generique/le-traite-transatlantique-est-mensonger/article-4000624635538.htm
Pour en savoir plus sur le TAFTA / TTIP / GMT :
http://www.jennar.fr/?p=3395
http://france.attac.org/guide-pour-affronter-le-grand-marche-transatlantique
http://stoptafta.wordpress.com/2014/01/08/10/
Attention : d’autres mises en ligne de cette vidéo mènent directement à des sites néofascistes ou apparentés, par-delà des apparences parfois trompeuses. Regardez bien, parmi d’autres, les publications de ce compte pseudo "anonymous" qui a publié la même vidéo :
https://www.youtube.com/channel/UCctSZG8zTzDNQL4LIHsMFGA
dont :
https://www.youtube.com/watch?v=G-D1SpWItc8
ALERTE AUX UTOPIES !
Une menace généralisée se précise sur la ligne de front entre les ruines du vieux monde et les premiers jardins du nouveau. En Europe, la répression s’accentue simultanément dans les poches de résistance et de création que sont Marinaleda (Espagne) et Exarcheia (Grèce), sans oublier les irréductibles du Val Susa, du Pays Basque, de Chalcidique ou encore de la ZAD de NDDL. Une répression qui n’a qu’un seul but : nier les alternatives et garder l’imaginaire sous contrôle.
2014. Il y a exactement 30 ans, Margaret Thatcher lançait son redoutable TINA : « There is no alternative ! » (il n’y a pas d’alternative). Depuis lors, le repli des utopies des 60’s et 70’s a fait place à la toute-puissance du modèle dominant. Les premières années de l’ère du TINA se sont conclues par la victoire d’un bloc sur l’autre. Les suivantes ont vu le projet altermondialiste affaibli puis dépassé par la montée des nationalismes dans un climat entretenu de peur économique et sociale.
Cependant, depuis quelques mois, l’expérience autogestionnaire de Marinaleda, pourtant ancienne, et les déplacements de ses représentants, ne cessent de susciter le désir de changement. De même, l’archipel d’utopies qu’est le quartier athénien d’Exarcheia, au cœur de la Grèce qui résiste à une austérité inhumaine, fait l’objet d’une attention chaleureuse en France et ailleurs en Europe. Les idées voyagent, les slogans, mais aussi les actes. Des expériences concrètes qui prouvent que des alternatives existent et qu’un autre monde est possible voire même, peut-être, déjà en marche. D’autres territoires s’insurgent contre la tyrannie productiviste et son projet délirant d’avaler la terre et le temps : sur la ZAD de NDDL contre un nouvel aéroport nantais, au Pays Basque et dans le Val Susa (Alpes italiennes) contre des lignes de train à grande vitesse. Autant de grands travaux inutiles et nuisibles qui s’étendent jusque dans les coins reculés de l’Europe, comme si la seule question était comment aller plus vite, sans jamais se poser la question du pourquoi et, par-là même, de l’orientation dans la pensée, dans la vie, dans le monde.
« Étant toujours en train de courir,
nous vivons la tête baissée. »
Et c’est en cela que les marges inquiètent le système en place. Elles posent les questions éludées dans la précipitation quotidienne, du matin au soir. Étant toujours en train de courir, nous vivons la tête baissée. Jamais le regard à l’horizon, ou si peu. Toujours dans les objets, outils, médias, miroirs de notre vacuité. Toujours dans le néant de ce monde qui marche à l’envers. L’être humain croît être tout et ne rien avoir, alors qu’il a tout et qu’il n’est rien. Sur ce présupposé mensonger sont bâties nos sociétés. Un mensonge qui nous détourne à la fois des moyens raisonnables d’exister et du projet raisonné d’être.
2014 est une marche de plus dans l’escalier de la peur, dont on redoute la destination. Cette peur nous ramène, à l’instar du Léviathan de Thomas Hobbes, à une société distillant quotidiennement l’idée que l’homme est un loup pour l’homme et un objectif principal, par conséquent : la sécurité. Dès lors, la question de la norme et de la normalité se pose avec insistance. Et en miroir, celle de la marge et de la marginalité. Marginalité qui consiste à vivre ou penser dans la marge, ou plutôt dans les marges. Oui, mais quelles marges ? Celles que définit Foucault. Précisons : Michel Foucault, le philosophe et psychologue… qui a le malheur d’avoir un homonyme, animateur télé, qui est aussi un antonyme, mais qui serait sans doute un bon sujet d’analyse sur ce qu’est la normalité dans notre société du spectacle. Laquelle nous invite partout, à travers lui, à gagner des millions, à devenir riche, puissant, connu, glorieux et même adulé, mais qui ne nous permet pas de vivre autrement qu’en rampant. Le fantôme de la précarité nous hante et nous conduit à désirer la sécurité et le petit confort personnel plus que tout autre projet de société.
À l’extérieur, au-delà, autrement, il y a ce que Michel Foucault appelle les hétérotopies. Ces zones périlleuses, de non-droit pour la plupart, catacombes de la cité ou lieux transitoires, zones tampons, espaces vides ou presque, étapes ou voies de garage, raccourcis, détours ou impasses. Zones d’humanité à part entière, comme les écoles, les maisons de retraites, les hôpitaux, les prisons, ou encore la rue quand on est amené à y habiter. Des zones de mise à l’écart, volontaire ou pas, avec un statut à part entière et une liberté conditionnée, surveillée, et souvent réduite. L’hétérotopie est un lieu d’hétéronomie, c’est-à-dire dans lequel l’individu ne peut pas pleinement être autonome.
Sauf quand l’hétérotopie est une création, une brèche ouverte pour donner un lieu à l’utopie, c’est-à-dire un projet de vie alternatif. Travailler l’utopie de l’intérieur et la donner à voir à l’extérieur. Libérer l’imaginaire colonisé par les mots du pouvoir, l’opinion majoritaire ou s’affirmant comme telle, et les habitudes convenues comme étant les principales références. Ces hétérotopies là sont l’archipel de la marge, un peu comme des îles au large d’un continent, mais qui s’exposent d’autant plus aux intempéries, aux tempêtes, aux cyclones. Marges auxquelles s’oppose également, et plus violemment encore, le fascisme qui n’est pas tant un extrémisme, au sens d’un mouvement visant intensément une utopie (qui peut se révéler être une dystopie) que la radicalité dans la normalité : délire de pureté jusqu’à l’eugénisme social, politique, sanitaire ou ethnique. Marges qui paraissent des en-dehors, alors que la fabrication de l’exclusion est d’abord dans le regard de l’autre. Marges qui permettent parfois de voir, dire et penser autrement, donc de contribuer, même modestement, à changer le monde ; qui posent la question cruciale : est-ce l’individu en rupture qui est inadapté ou bien n’est-ce pas aussi et surtout la société qui est inadaptée à la diversité, à la créativité et à la fragilité des individus ?
« L’heure n’est plus au nombre de Vietnam,
mais de Marinaleda, d’Exarcheia… »
Pour fêter les 30 ans du TINA, l’Europe de la norme vient d’accentuer la répression des marges et projette l’écrasement des hétérotopies qui dérangent ou défient son modèle dominant. Le maire de Marinaleda en Espagne vient d’être condamné à 7 mois de prison ferme, ainsi que plusieurs de ses camarades le 20 novembre. Des dizaines de compagnons viennent de subir le même sort en Grèce, notamment à Exarcheia après les nuits du 17 novembre (189 interpellations), du 6 décembre (135 interpellations), et du 13 décembre (84 interpellations). De même en Chalcidique, territoire du nord de la Grèce où la population lutte contre l’installation autoritaire d’immenses mines d’or sur un site naturel autrefois protégé et se trouve menacée par des peines de prison de plus en plus lourdes. Les opposants basques au TGV pyrénéen ont, pour leur part, écopé de deux ans de prison ferme le 27 novembre pour avoir simplement entarté la présidente de Navarre. Des militants NO TAV contre le LGV italien de Val Susa ont subit de violentes arrestations le 9 décembre dans des espaces sociaux libres de Turin et à Milan. En France, parmi d’autres luttes, celle de la ZAD de NDDL menace également de se durcir du fait d’un pouvoir obstiné dans l’autisme et qui s’apprête à utiliser la violence.
Faisons-le savoir partout, cette répression généralisée n’a qu’un seul but : nier les alternatives et garder l’imaginaire sous contrôle. Pendant qu’il est encore temps, défendons les utopies en actes et multiplions-les. L’heure n’est plus au nombre de Vietnam, mais de Marinaleda, d’Exarcheia et de bien d’autres formes d’alternatives expérimentales à inventer. Il est encore temps de libérer l’imaginaire, dissiper la résignation et mettre fin au TINA. Il est encore temps de choisir la vie.
Y.Y., paru dans Z’indignés (ex-Le Sarkophage), janvier 2014
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Mon ami Éric Jousse a filmé le débat qui a suivi la projection du film Ne vivons plus comme des esclaves au festival d’Attac "Images mouvementées", le 24 novembre 2013 à Paris (d’autres débats seront bientôt mis en ligne, filmés dans des univers très variés et parfois étonnants).
Celui-là était aux côtés de Thomas Coutrot, co-président d’Attac et économiste atterré. Un débat fraternel, sans hypocrisie ni retenue, "entre libertaire et marxiste" (dixit Thomas) que le public a semble-t-il apprécié, dans un esprit de convergence de luttes. Certains sujets ont fait l’objet de petites divergences de points de vue. Devinez lesquels (durée 57 min) !
SOMMAIRE DES SUJETS ABORDÉS
par Y.Youlountas et T.Coutrot (illustrés par des extraits du film)
1 min : Impact du film en Grèce (YY)
3 min : L’esclavage moderne (TC)
7 min : Vitalité des alternatives (TC)
8 min : Comment aider la résistance grecque ? (YY)
12 min : Bouleversements dans les médias (YY)
16 min : Anarchisme et marxisme (TC)
17 min : Démontage du mot crise (YY)
23 min : Marinaleda et Exarcheia (YY)
29 min : Ingérence politique ancienne (YY)
31 min : Comment l’un des lieux du film a été détruit (YY)
34 min : Les dessous de l’assassinat de Pavlos Fyssas (YY)
37 min : Violence et non-violence (YY)
39 min : Comment résister au fascisme ? (TC et YY)
45 min : Liberté de vivre autrement (YY)
47 min : L’exemple Islandais (TC)
50 min : Décroissance et État (YY)
52 min : L’esclavage par la surconsommation (YY)
55 min : Faire vivre ce film et le prolonger par des débats partout (TC)
Durée : 57 min. Images Éric Jousse. Montage Berceau d’un autre monde. Merci à Ève-Marie, Maud, Thomas, l’équipe du festival et le cinéma La Clef.
Contact programmation et diffusion du film :
maud(a)nevivonspluscommedesesclaves.net
Agenda des prochaines projections-débats :
http://nevivonspluscommedesesclaves.net
PS : mon petit appareil photo en mode vidéo m’emmène ces jours-ci jusqu’au Festival international de cinéma d’Alger (en compagnie de Ken Loach, etc.). Étonnante histoire que celle de Ne vivons plus comme des esclaves... Nous venons d’y recevoir le prix du FILM RÉSISTANT :
Accueil populaire très chaleureux de Ne vivons plus comme des esclaves à Alger (19-26 décembre 2013), avec de très belles critiques dans la presse nationale. Ci-dessous, la critique du film dans Algérie News est particulièrement étonnante dans le contexte politique et social algérien :
http://www.algerienews.info/a-comme-athenes-a-comme-anar
Bande-annonce (voir les 4 autres bandes-annonces ici) :
EXARCHEIA LA NOIRE,
AU CŒUR DE LA GRÈCE QUI RÉSISTE
Enfin un livre sur Exarcheia,
l’incroyable quartier d’Athènes !
Il était temps ! Les francophones n’avaient rien ou presque à se mettre sous la dent pour découvrir ce lieu unique en Europe. C’est maintenant le cas, grâce aux conseils de Mimi et Vangelis, deux des intervenants du film Ne vivons plus comme des esclaves, qui habitent Exarcheia et proposent aussi la préface émouvante qui sert d’introduction à ce voyage en utopie. Ce livre est aussi le premier de Maud, ma compagne, qui est l’auteure des photos. J’ai pour ma part écrit les textes. J’espère que ce livre vous plaira et vous permettra d’aborder autrement la réalité présentée dans le film. En tout cas, un vide est comblé et la mémoire est sauve.
Résumé : "Paris a son Quartier Latin, mémoire de mai 1968. Athènes a Exarcheia, où s’écrit, en ce moment même, l’Histoire. Nouveau bastion de la révolte et des utopies, au crépuscule d’une Europe qui s’enfonce dans la tyrannie économique. Rempart fraternel contre le retour du nazisme qui rôde partout ailleurs en Grèce. Berceau du slogan Ne vivons plus comme des esclaves. Plus qu’un quartier désormais. Un mythe."
Format 19x19cm, 136 pages, imprimé par la coopérative ouvrière Imprimerie 34 sur papier glacé recyclé 160g pour les Éditions Libertaires, 14 euros.
Pour soutenir le film ainsi que le dispensaire social d’Exarcheia, vous pouvez nous le commander directement à :
Le livre Exarcheia la noire = 14 euros
3 livres = 36 euros / 5 livres = 55 euros
Le livre Exarcheia la noire + l’affiche 60x80cm + le DVD du film Ne vivons plus comme des esclaves = 20 euros
Pour les associations/collectifs ou pour les particuliers qui font des cadeaux en décembre ou qui souhaitent nous soutenir :
5 livres + 5 affiches + 5 DVD = 85 euros
Port offert, chèque à l’ordre de Anepos
En savoir plus : maud@nevivonspluscommedesesclaves.net
ou 06 18 26 84 95 (Maud).
PDF du bon de commande (incluant les autres titres disponibles) :
Vous pouvez également vous procurer livres et DVD durant les projections-débats du film : lieux et dates ici.
MERCI DE VOTRE SOUTIEN
INVITATION À TROUVER UN TRUC À BOIRE
À FERMER LES YEUX TREIZE MINUTES
ET À FAIRE LE VIDE EN OUVRANT GRAND LES OREILLES
Qu’on acquiesce ou pas à ceci ou à cela, pas de doute : ça shampooine la cervelle, ça nourrit les neurones et ça réveille les utopies.
10h-18H : première présentation publique du livre EXARCHEIA LA NOIRE (AU CŒUR DE LA GRÈCE QUI RÉSISTE) en présence des auteurs : Maud Youlountas pour les photos (son premier livre) et Yannis Youlountas pour les textes. Festival du film documentaire "Échos d’ici, échos d’ailleurs". Programme complet :
http://echosdudoc.free.fr/?page_id=1693
« Paris a son Quartier Latin, mémoire de mai 1968.
Athènes a Exarcheia, où s’écrit, en ce moment même, l’Histoire.
Nouveau bastion de la révolte et des utopies, au crépuscule
d’une Europe qui s’enfonce dans la tyrannie économique.
Rempart fraternel contre le retour du nazisme qui rôde
partout ailleurs en Grèce. Berceau du slogan
« Ne vivons plus comme des esclaves ».
Plus qu’un quartier désormais. Un mythe. »
14 euros le livre (port offert)
Achats groupés :
36 euros les 3 livres (port offert et réduction de 6 euros : 12 euros/livre)
55 euros les 5 livres (port offert et réduction de 15 euros : 11 euros/livre)
Pour recevoir directement le ou les livres, dédicacé(s) sur demande, chèque à l’ordre d’ANEPOS à envoyer à :
Livre unique sur le sujet en langue française. Merci de votre soutien.
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17h : projection-débat du film en présence du réalisateur en avant-première du Festival du film documentaire "Échos d’ici, échos d’ailleurs". Programme complet :
http://echosdudoc.free.fr/?page_id=1693
Tous les détails sur le site du film :
http://nevivonspluscommedesesclaves.net
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Projections-débats du film
Ne vivons plus comme des esclaves
29/09 à MERLIEUX (02) en présence de Mimi et Vangelis (personnages du film) ainsi que Yannis (réalisateur)
29/09 à LILLE en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
30/09 à PARIS en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
01/10 à PARIS en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
01/10 ST-DENIS (93) en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
02/10 à LYON en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
03/10 à NÎMES en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
04/10 à DURFORT (81, limitrophe 31 et 11) en présence de Mimi, Vangelis et Yannis
05/10 à RENNES en présence de Mimi et Vangelis
06/10 à ROUEN en présence de Mimi et Vangelis
07/10 à PARIS en présence de Mimi et Vangelis
* Toutes les soirées à prix libre sauf Durfort. Soirée de Joigny organisée par la Maison citoyenne, soirée de Damiatte par le FdG, soirée de Paris-Vignoles par la CNT, tournée Mimi et Vangelis par la FA, soirée de Durfort par La Fontaine Magique (repas de fête avant projection-débat : réservation 48h avant maxi auprès de maud@nevivonspluscommedesesclaves.net 15€, tout compris, vin et surprises inclus).
Détails :
http://nevivonspluscommedesesclaves.net/spip.php?rubrique15
http://nevivonspluscommedesesclaves.net
Καλο ταξίδι φίλε... Γεια σου ρε Παυλο
Δεν ξεχναμε, δε συγχωρουμε
https://fifigrot.wordpress.com/2013/08/21/ne-vivons-plus-comme-des-esclaves/
La projection sera précédé d’un hommage à notre ami et camarade Pavlos,
assassiné par les fascistes ce 18 septembre au Pirée.
C’est parti pour la deuxième édition du FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM GROLANDAIS DU 16 AU 22 SEPTEMBRE À TOULOUSE (prononcer Grolouse) ! Un grand moment en perspective ! Voici un souvenir de l’année dernière :
Programme de cette année (avec Dupontel, Berroyer, Bezian, Godin, Bouyxou, Ovidie, Raynal, Delepine, Salengro, Yolande Moreau, etc.) :
http://fifigrot.wordpress.com/category/programme-2/
Les bandes-annonces du festival :
http://fifigrot.wordpress.com/
J’aurai plaisir à vous retrouver plus particulièrement :
LE MARDI 17 SEPTEMBRE À 19H30 À LA CAVE POÉSIE, 71, rue du Taur pour la double soirée CINÉMATONS (ne manquez pas le début !) puis GROÉSIE d’après la nouvelle mouture révolutionnée de mes Poèmes ignobles. Je serai entouré d’invités-surprises plus ignobles les uns que les autres dans des sketchs, slams, lectures et chansons (notamment Cyril Gontier au chant et à la guitare, Eric Sirvin dans un rôle surprise, Maud Youlountas et Leïla Saghfary dans des sketchs émoustillants, etc.). Maître de cérémonie : l’ignoblissime Noël Godin (l’entarteur) qui lira un extrait de son ignoble préface. L’ignoble bouquin sera dévoilé sur place (couverture ignoble de Berth) et à votre disposition si vous souhaitez vous jeter à l’eau avec nous.
http://fifigrot.wordpress.com/2013/09/09/cave-poesie/
http://www.cave-poesie.com/
Vous ne savez pas qui est Noël Godin ?
Berth ?
http://berth.canalblog.com/
Cyril Gontier ?